Insgesamt stehen elf Kandidaten am 24. April für das Amt des französischen Präsidenten zur Wahl. Doch das Rennen wird wahrscheinlich zwischen den fünf Stärksten entschieden. Quelle: Opinionlab

Nach jüngsten Umfragen sieht alles danach aus, als ob die zwei größten französischen Parteien nicht den künftigen Präsidenten der Republik stellen werden. Während die Gegner von der schwachen Leistung der Sozialisten und der Republikaner profitieren, zeichnen sich schon heute mögliche Auswirkungen auf die beiden Volksparteien ab. 

Wenn die Sozialisten in Frankreich ihren Präsidentschaftskandidaten Benoît Hamon in den jüngsten Umfragewerten suchen, müssen sie lange ihren Finger nach unten fahren lassen. Unter den Top Five belegt der 49-Jährige aktuell den letzten Platz. Nur zehn Prozent aller Franzosen würden den Kandidaten der Parti socialiste (PS) am 23. April als Staatsoberhaupt wählen. Das wäre in etwa so, als hätte die SPD am Ende von Gerhard Schröders Kanzlerschaft nur noch zehn Prozent bei der Bundestagswahl erzielt. Sogar Jean-Luc Mélenchon, der Kandidat der extrem linken Bewegung „La France Insoumise“ („das Frankreich der Aufsässigen“), ist an Hamon vorbeigezogen. „Natürlich wissen wir, dass die PS in einer Krise steckt. Aber nicht nur wir, sondern die gesamte Politik steckt darin“, sagt PS-Sprecherin Corinne Narassiguin. Es sind stürmische Zeiten für die Volksparteien in Frankreich. Die beiden Spitzenkandidaten für die Präsidentschaftswahlen, der Republikaner François Fillon und der Sozialist Hamon, überzeugen nicht. Ein Präsident muss im ersten Wahlgang mehr als 50 Prozent aller Stimmen erhalten, ansonsten gibt es zwischen den zwei stärksten Kandidaten zwei Wochen später eine Stichwahl (7. Mai). Im Moment zeichnet sich in Frankreich eine einmalige Situation ab: Weder Fillon noch Hamon würden es nach aktuellen Umfragen in eine mögliche Stichwahl schaffen. Das wäre seit der Existenz der Fünften Französischen Republik, also seit 1958, ein Unikum. Aber wie sind die Volksparteien in diese Situation gekommen?

Der Politologe der Sciences Po Paris, Thomas Guénolé, ist davon überzeugt, dass die Krise der Parti socialiste auf innerparteiliche Konflikte zurückzuführen ist: „Die PS kämpft mit immensen strukturellen Problemen, da der rechte und der linke Flügel um die Macht kämpfen und um die Durchsetzung ihrer eigenen Ideologien“. Auch wenn die PS nicht von einer inneren Spaltung sprechen will, weist Guénolé auf die mangelnde Unterstützung für Hamon in seinen eigenen Reihen hin. Erst vorige Woche hat sich der ehemalige Premierminister und Konkurrent in den Vorwahlen, Manuel Valls, für den Präsidentschaftskandidaten Emmanuel Macron ausgesprochen. Macron tritt bei den Präsidentschaftswahlen als unabhängiger Kandidat auf. Ein Unbekannter ist er nicht, denn unter Präsident Hollande war er bis August 2016 französischer Wirtschaftsminister. Als ehemaliges Mitglied der Parti socialiste hätte Macron den rechten Flügel der Sozialisten gut repräsentieren können. Neben Valls unterstützt auch der aktuelle Verteidigungsminister, Jean-Yves Le Drian, Macron. Es scheint so, als ob Hamon von vielen seiner Kollegen und Parteimitglieder im Wahlkampf alleine gelassen wird. Eigentlich sind diese nach dem Parteigesetz der Parti socialiste dazu verpflichtet, den Sieger der Vorwahlen zu unterstützen und gegenüber dem Kandidaten loyal zu sein.

Für Frankreich ist die Präsidentschaftswahl von enormer Bedeutung. So hat der französische Präsident im Vergleich zum deutschen Bundeskanzler mehr Macht im politischen System. Er ernennt die Regierungsmitglieder, kann Volksabstimmungen initiieren oder die Nationalversammlung auflösen. Insbesondere im Ausnahmezustand, der aktuell in Frankreich nach den Anschlägen herrscht, darf der Präsident viele Entscheidungen alleine treffen.

Les Enseignants Référents pour l’Action Européenne et Internationale sont les interlocuteurs privilégiés dans un établissement pour connaître les possibilités de mobilité à l’initiative du collège ou du lycée (programme Erasmus+, programmes bilatéraux nationaux ou académiques…). Il faut alors se renseigner directement au sein de son établissement sur les possibilités d’échanges qui peuvent exister. Au niveau académique, ce sont les DAREIC, délégués académiques aux relations européennes internationales et à la coopération, qui ont en charge la coordination de ces échanges.
Chaque année le Ministère de l’Education Nationale octroie quelques bourses aux élèves désireux de passer une année scolaire dans les lycées français de Londres, Dublin, Madrid, Barcelone, Munich ou Vienne. Ces bourses peuvent être accordées à d’excellents élèves et tiennent compte de la situation sociale.

Cela concerne l’année de première ou de terminale. L’élève continue de suivre le programme français du baccalauréat tout en étant en immersion dans un autre pays.

Les dossiers sont à demander à son chef d’établissement et à rendre au plus tard au mois de février/mars qui précède le départ.

Toutes les informations sont sur le Bulletin Officiel avec une mise à jour sur le site Eduscol, sur la page concernant les bourses pour les lycées français de Londres, Dublin, Munich, Vienne, Madrid, Barcelone.

On retrouve également la liste complète des établissements français à l’étranger sur le site de l’agence de l’enseignement français à l’étranger (AEFE). Certains établissements acceptent des élèves français sans bourse associée.

Il est possible, pour les élèves qui souhaitent se perfectionner en allemand de participer à l’un des deux programmes d’échanges franco-allemands :

• le programme Brigitte Sauzay : d’une durée totale de 4 à 6 mois, il s’adresse aux élèves de la quatrième à la première. Le dossier doit être déposé au plus tard un mois avant le départ.

• le programme Voltaire : couvrant la totalité de l’année scolaire, il concerne les élèves de troisième ou seconde . Il est nécessaire de s’y prendre en avance à savoir fin octobre/début novembre pour un départ en mars.

Ces deux programmes sont basés sur le principe de réciprocité. L’élève part pour moitié de la durée en Allemagne et l’autre partie du temps, il accueillera son correspondant allemand dans sa propre famille. 

Pour participer aux programmes Sauzay et Voltaire, il faut obtenir l’accord du chef d’établissement et des équipes éducatives : l’interlocuteur privilégié reste le professeur d’allemand. L'Office Franco-Allemand pour la Jeunesse (OFAJ) facilite la mise en place des échanges.

Les échanges de jeunes du Rotary Club permettent de partir une année scolaire à l’étranger. Il s’agit d’interrompre sa scolarité en France (le plus souvent après la classe de seconde ou de première) pour passer une année de scolarité dans un établissement du pays de destination, avec un hébergement en famille d’accueil.

Ce programme implique la famille du jeune car celle-ci doit accueillir des jeunes étrangers pendant la mobilité de leur enfant.

Pour postuler, il faut s’adresser au Club Rotary le plus proche de son domicile dès le début de l’année scolaire qui précède le départ. En effet une sélection a lieu sur les bases des résultats scolaires mais surtout sur la motivation du jeune, sa curiosité pour les cultures étrangères et sa capacité à s’investir dans des projets.

Les frais d’hébergement et de scolarité sont pris en charge par le Rotary Club et il reste à la charge des familles le coût du transport, les divers frais administratifs ainsi que l’argent de poche.

Informations sur le site du Rotary et directement auprès du Rotary club le plus proche du domicile.

Au-delà des cours de langues, les organismes de séjours linguistiques proposent des formules d’immersion en lycée et en famille d’accueil.

Si certains organismes proposent des aides financières sur critères sociaux, le coût est en général supporté entièrement par le jeune et sa famille, les prix démarrant autour de 5 500 € tout compris et pouvant atteindre plus de 15 000 € pour une année.

Il faut dans la grande majorité des cas avoir entre 15 et 18 ans et ne pas avoir encore obtenu le baccalauréat!

Il s’agit d’une parenthèse dans la scolarité du lycéen qui reprend ensuite sa scolarité en France, là où il l’a laissée avant son séjour. Cette mobilité peut être préconisée à des lycéens en première ou seconde, mais il est impératif de s’assurer des conditions de reprise de la scolarité auprès du chef d’établissement avant le départ.

Un label de qualité permet de vérifier le sérieux des organismes prestataires. On peut aussi se référer aux organismes adhérent à l’Union Nationale des Organismes de Séjours et Stages Linguistiques.

Le Parlement Européen des Jeunes sensibilise aux questions européennes en simulant des sessions parlementaires organisées au niveau européen, national ou régional. Information sur le site du Parlement Européen des Jeunes et sur leur page Facebook.

Die Republikaner sind gelassen

In Zeiten, in denen die Sozialisten mit innerparteilichen Problemen kämpfen, kommen auch die Republikaner mit ihrem Kandidaten François Fillon nicht mehr aus den Negativ-Schlagzeilen heraus. Der Vorwurf über die Scheinbeschäftigung seiner Ehefrau Penelope überdeckt den Wahlkampf und bringt die Teilnahme an der möglichen Stichwahl in Gefahr. Fillon wird vorgeworfen, dass er seine Frau als parlamentarische Mitarbeiterin eingestellt und sie in dieser Zeit ein Gehalt erhalten hat, ohne wirklich dafür gearbeitet zu haben. Sein Wahlkampf-Team gibt sich jedoch gelassen: „Wir stehen hinter unserem Kandidaten. Eine Strategieänderung hat und wird es nicht geben“, sagt der Vize-Präsident der jungen Anhänger, Antoine Chenellier. Langfristigen Schaden wird der Fall Fillon nach Ansicht des Experten Guénolé nicht haben: „Die Republikaner stehen nicht vor einem Kollaps ihrer Partei. Im Gegenteil: Sie haben in den letzten Jahren konstante Ergebnisse eingefahren. Die jetzigen schlechten Umfragewerte gehen nur auf Fillon zurück.“ Nach ihm würden sie wieder ihre 25 bis 30 Prozent holen.

Wenn zwei sich streiten, freuen sich der Dritte und der Vierte

Es ist nicht überraschend, dass von der Krise der großen Volksparteien andere Kandidaten profitieren. Die extrem rechte Kandidatin des Front National, Marine Le Pen, schafft es mit ihrem Populismus, die Sorgen vieler Bürger zu adressieren und verspricht französischen Staatsbürgern unter anderem, sie bei der Arbeits- und Wohnungssuche zu bevorzugen. In den Umfragen liegt Le Pen derzeit knapp hinter Macron. Mit seiner Bewegung „En Marche“ wirbt er für sich als Hoffnungsträger und will Frankreich stark reformieren – auch junge Menschen kann er für sich begeistern. „In den letzten 25 Jahren ist eine solche Präsidentschaftswahl undenkbar gewesen“, sagt Politologe Dominique Reynié. Die großen Volksparteien würden den Bürgern nicht mehr zuhören. „Dies führt zu einem tiefen Graben zwischen ihnen und der Bevölkerung“, so Reynié. Macron hingegen vereint in seinem Wahlprogramm Inhalte der Sozialisten und der Republikaner und schafft es, damit Wählerstimmen aus beiden Lagern abzuwerben. Er hat in kürzester Zeit mehr als 230.000 Mitglieder in seiner Bewegung vereint. Nur E-Mail-Adresse und Name benötigt der Bürger, um Mitglied der Bewegung zu werden. Die Mitgliedschaft in einer Partei ist etwas komplizierter und verlangt, wie in Deutschland, einen jährlichen Mitgliedsbeitrag. Nadège Guillard

Nadège Guillard (34) kämpft für Macron, damit ihre drei Kinder nicht in einem ungerechten Frankreich aufwachsen müssen.

ist der „En Marche“-Bewegung vor einigen Monaten beigetreten. Bisher hat sie meistens bei Wahlen ihre Stimme ungültig gemacht, diesmal will sie ihr Kreuz bei Macron setzen. Sie glaubt, dass mit dem 39-Jährigen neue Ideen die französische Politik bestimmen werden. Die dreifache Mutter ist davon überzeugt, dass Macron die Probleme Frankreichs – wie Migration, Jugendarbeitslosigkeit oder die Gefahr einer Zweiklassengesellschaft – endlich lösen kann. Obwohl sie neben der Erziehung ihrer Kinder und der Arbeit ausgelastet ist, hilft sie regelmäßig bei Verteilaktionen oder anderen Veranstaltungen der „En Marche“-Bewegung.

Richtungsweisende Parlamentswahlen im Juni

Während viele Republikaner weiterhin an eine Verschwörung in der Korruptions-Affäre gegen Fillon durch die Sozialisten glauben, steckt die Parti socialiste mitten in der Analyse, wie sie in den bevorstehenden Parlamentswahlen am 11. Juni überzeugen kann. „Unsere Wähler warten darauf, dass wir wieder besser werden, für unsere Grundwerte stehen und kämpfen. Dafür werden wir uns für die Wahlen um das Parlament gut vorbereiten“, sagt die PS-Sprecherin Corinne Narassiguin. Welche Konsequenzen es für die Sozialisten am Ende haben kann, wenn Mélenchon mehr Stimmen als Hamon holt und er es schafft, den linken Flügel der Sozialisten abzuwerben, darüber will niemand spekulieren. „Es sind noch zu viele Variablen offen, um künftige Konsequenzen für die Sozialisten oder Republikaner abzusehen“, sagt Politologe Guénolé. Doch das linke Spektrum um „La France Insoumise“ wird stärker und könnte eine Spaltung innerhalb der Sozialisten auslösen. Aber auch eine mögliche Wahl von Macron zum Präsidenten Frankreichs kann große Auswirkungen auf die Volksparteien haben. Macron ist als unabhängiger Kandidat ins Rennen gegangen und wird in den Parlamentswahlen eine Mehrheit benötigen, um seine Wahlversprechen einzulösen. Bislang hält sich der junge Kandidat mit möglichen Partnern zurück, doch für die Republikaner und die Sozialisten werden die Ergebnisse der Parlamentswahl richtungsweisend für ihre weitere Zukunft sein. Sie werden sich dann auch Gedanken darüber machen müssen, ob sie mit „En Marche“ eine Koalition eingehen wollen.